Jeter l’encre.
Salut salut! Non, pas de faute dans mon titre, aujourd’hui je vais revenir sur un sujet déjà traité dans un vieil article : le tatouage. Tu le sais peut-être si tu as lu la page « Ojou-sama », ou l’article en question, mais je fais partie de ceux qui ont décidé de garder une trace indélébile sur le corps. Choix qui n’est pas toujours compris, d’où l’article que j’avais rédigé, pour expliquer ma vision du tatouage, et un peu de son histoire côté asiatique. J’étais alors déjà passé deux fois chez le tatoueur, pour faire évoluer mon encrage, et comme je l’avais dit à l’époque : « je ne m’interdis absolument pas d’étendre mon tatouage, seulement si je trouve une chose suffisamment importante pour rejoindre mon encrage actuel… ». C’est chose faite.
Peau d’encre…
Après une longue hésitation, je me décide enfin à venir te parler d’un sujet qui me tient plutôt beaucoup à cœur, et que je défends bec et ongles contre les sceptiques…je parle bien sur du tatouage. Attention, je ne compte pas m’adresser à toi, ado post-pubert qui exulte à l’idée de te faire encrer une étoile façon Quentin de la star-ac, ni à toi qui regarde avec envie le tribal de Georges Clooney dans « Une nuit en Enfer » (excellent film de Robert Rodriguez, référencé aux séries B , avec Quentin Tarantino, Georges Clooney, Harvey Keitel etc…). Enfin, si toi aussi tu aimes plus que tout au monde les squelettes en feu, chevauchant une Harley dont les roues sont transpercées par des épées moyenâgeuses, tu peux d’ors et déjà partir.
Qu’est ce que tu dis?